LIGNE ÉDITORIALE

Captures a pour but de proposer un outil de production et de postproduction à des projets qui expérimentent de nouvelles formes cinématographiques et audiovisuelles, et s’interrogent sur les enjeux géopolitiques et technologiques d’aujourd’hui.
Sa ligne éditoriale l’amène à produire des “films du sud”, essentiellement des longs métrages de fiction réalisés par des cinéastes résidant au Maghreb et au Moyen Orient et des documentaires de création engagés.


PRODUIRE DES CONTENUS ARTISTIQUES ET INTELLECTUELS

Des collaborations naturelles sont nées suite à des préoccupations communes sur les rapports qu’entretiennent la photographie et le cinéma à travers notamment l’œuvre de l’artiste américain Robert Frank ainsi qu’un intérêt affirmé pour la cartographie : Till Roeskens, Ghassan Salhab, Tariq Teguia… L’actualité des conflits et des insurrections de l’autre côté de la Méditerranée, en regard avec les dominations des marchés, figure en conséquence dans nos réflexions prioritaires.


CINEMA ET ART CONTEMPORAIN

Captures se positionne volontairement aux intersections :

Notre souhait est de donner vie à des œuvres et les faire exister, en usant de notre expérience au sein du monde de l’art tout en évoluant dans celui du cinéma. Nous assumons pleinement notre polyvalence en termes de production, accompagnement, édition et publications sur le travail des créateurs plutôt que d’apparaître en « professionnel de la profession ».

Captures entretient ainsi des liens de proximité intellectuelle avec les sociétés de production CAPRICCI,  ANNA SANDERS Films (producteur d’Apichatpong Weerasethakul, Palme d’or 2010) ou LES FILMS DE L’ETRANGER et UNLIMITED,  films produits par Philippe AVRIL.

C’est-à-dire évoluant au sein d’une économie qui repose sur des coûts réduits mais qui s’engage sur des projets ambitieux artistiquement, avec le souci d’interroger les formes cinématographiques.


POUR QUEL PUBLIC ?

Nos productions s’adressent à tous les publics et suivent les voix de la diffusion traditionnelle (distribution en salle, édition en DVD…), en attendant les innovations dans ce secteur avec l’essor de la V.O.D et du numérique. Il nous semble également indispensable de programmer les films conjointement à des rencontres, de créer des événements spécifiques et des actions pédagogiques en résonance. Des partenariats avec l’ACID ou le GNCR sont ainsi systématiquement envisagés.